Les lois de finances pour 2024 avaient acté une économie sur les dépenses publiques à hauteur de 16 milliards d’euros (notamment par la fin du bouclier tarifaire sur l’énergie), le décret publié le 22 février a ajouté un gel des crédits de l’État de 10 milliards d’euros. L’austérité enfin assumée, et en sacrifiant les services publics, s’indignait la confédération, mettant en garde contre (...)
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