Il y a un mois et demi à peine, par référendum, 62.5% des électeurs grecs disaient non à un nouveau plan d’austérité et de réformes exigé par les créanciers du pays. Aujourd’hui, une majorité de leurs députés ont dit oui. Pourtant, avec 40% de grecs déjà en situation de pauvreté totale « l’urgence n’est pas bancaire, mais humanitaire », alerte de son côté la Confédération générale des travailleurs grecs (GSEE).