Entre la Modernisation de l’Action Publique, la Cour des comptes et maintenant le Premier ministre, nous avons aujourd’hui la certitude que la négociation future des régimes complémentaires de retraite du privé sera sous surveillance… avant d’être sous tutelle ?
Il nous appartient de défendre le paritarisme qui n’a jamais pesé dans les déficits publics, ne serait-ce que pour un euro !
Voici la lettre que Jean-Claude Mailly a adressée la semaine dernière au Premier ministre.