Inégalités de revenus, gains de productivité qui profitent plus aux actionnaires qu’aux salariés, hausse de la pauvreté, faible hausse du salaire réel et hausse de la pression fiscale. Les salariés de la zone euro, du Royaume-Uni, des États-Unis et du Japon ont des raisons d’être mécontents, indique une note de la banque Natixis publiée en août.