A partir du 1er juin, l’État va réduire sa prise en charge de l’activité partielle dans la plupart des secteurs d’activité. Ce dispositif, qui a constitué un filet de sécurité pour l’emploi durant la crise sanitaire, a bénéficié à près de 8,6 millions de salariés en avril. Redoutant une hausse des ruptures de contrats alors que le chômage vient de dépasser la barre des 6 millions de personnes, FO souhaite un contrôle strict des procédures de suppression d’emploi et la suspension des procédures de licenciement.