La colère monte chez Editis, deuxième groupe français d’édition. Le syndicat FO, qui dénonce la faiblesse des rémunérations, a appris qu’une quinzaine de hauts cadres s’étaient partagé une prime de cession de 1,7 million d’euros lors du rachat de l’entreprise en novembre dernier. Une mobilisation est annoncée à la rentrée.