« Au lieu de 1+1 = 2 », on a obtenu « 1+1 = 50 » explique William Bourguet, spécialiste dans les perturbateurs endocriniens. Publiée dans la revue scientifique britannique Nature Communication, le 3 septembre, une étude de son équipe du centre de biochimie structurale (CBS) et des instituts de recherche en (...)