En guise d’éditorial de Jean-Claude Mailly
Présent mercredi 26 mars 2014 pour l’inauguration des nouveaux locaux de l’UD F0, rue Auvray au Mans, Jean-Claude Mailly, secrétaire général de la confédération, en a profité pour faire un tour d’horizon de l’actualité sociale.
Les éditoriaux du secrétaire général
Avant la journée d’actions que FO organise, mardi 18 mars, avec la CGT, la FSU et Solidaires, son Secrétaire général, Jean-Claude Mailly, explique sa stratégie. Il dénonce le pacte de responsabilité après avoir refusé de signer un relevé de conclusions sur les contreparties aux baisses de charges. Jeudi 13 mars, le bureau national de la CFDT a décidé à l’unanimité de ratifier ce texte signé par la CFTC et la CFE-CGC.
Propos recueillis par Michel Noblecourt
Les éditoriaux du secrétaire général
Dès l’annonce du président de la République, le 31 décembre, sur le pacte de responsabilité, nous avons expliqué qu’il était impossible, donc illusoire, d’obliger les entreprises à embaucher ou augmenter les salaires.
Dossier Pacte de responsabilité
– Pacte de responsabilité : un relevé de conclusions pour 30 milliards d’euros sans contrepartie ni contrainte - FO Hebdo n°3109 du 12 mars 2014
– Pacte de responsabilité : pour FO, « les masques sont tombés » - FO Hebdo n°3108 du 5 mars 2014
– Le Medef remercie le président pour ses bons vœux - FO Hebdo n°3102 du 22 janvier 2014
– Pacte de défiance : Les promesses du patronat n’engagent que ceux qui les écoutent - FO Hebdo n°3102 du 22 janvier 2014
Dossier Pacte de responsabilité
Les protagonistes du relevé de conclusions sur le Pacte de responsabilité militeraient – ils pour le renouveau de la nuit des Molières, annulée en 2012, qui consacrait un palmarès au théâtre ? Et, du même coup, postulent-ils au Molière de la pièce comique et de la mise en scène ?
Les éditoriaux du secrétaire général
Comme annoncé, une réunion s’est tenue le 28 février entre les organisations syndicales et patronales concernant le fameux « pacte de responsabilité ». Force Ouvrière a rappelé les raisons de fond, de forme et de méthode pour lesquelles nous étions en désaccord avec le pacte. Les « engagements » dont on parle feraient sourire si le sujet n’était aussi sérieux.
Après le « choc de compétitivité » mis en œuvre à la suite de son élection, le président de la République réaffirme son tropisme patronal en prônant un « pacte de responsabilité » qui, sous couvert de donnant-donnant, constitue en réalité un cadeau au patronat.