Toute sanction à l’égard d’un salarié protégé ne nécessite pas son accord, en témoigne un arrêt de la Cour de cassation du 11 décembre 2024 (Cass. soc., 11-12-24, n°23-13332) relatif à une mise à pied disciplinaire.
Les faits sont les suivants : un salarié protégé se voit notifier une mise à pied disciplinaire de 5 jours. Il conteste cette sanction en saisissant le CPH. En appel, la mise à (…)
Droit disciplinaire