Contestée lors de son annonce en juin 2019 par l’ensemble des confédérations, reportée en partie dans le contexte de la crise sanitaire et de la bascule dans le chômage de milliers de salariés, aujourd’hui suspendue, mise en cause déjà une première fois par le conseil d’État saisi notamment par FO, toujours contestée par les confédérations et révélant ses effets nocifs pour les plus fragiles (dont les femmes, salariés subissant l’activité partielle, salariés en emplois précaires), cette réforme doit être définitivement remisée.