Pour Force Ouvrière, la signature de l’Accord de Paris est une illustration des capacités de réponse de l’ensemble des pays, ayant notamment eu le mérite d’ouvrir une réflexion entre les États afin d’évaluer et de mesurer les premiers effets concrets du réchauffement climatique, aux niveaux géographiques et sectoriels, en particulier sur les activités humaines et les champs sociaux.
FO est déterminée à poursuivre son engagement pour que le social et les droits fondamentaux des travailleurs soient pris en compte dans les accords environnementaux internationaux. L’enjeu des COP est réel pour y permettre un rééquilibrage des trois piliers, seul moyen de garantir un développement durable et respectueux des droits fondamentaux.
FO soutient nos camarades américains de l’AFL-CIO qui dénoncent tant cette décision dangereuse pour l’environnement que la politique isolationniste qui l’accompagne, toutes deux impactant négativement les travailleurs.