Le Parisien
Un état des lieux des nouvelles mesures restrictives : Vous pourrez sortir mais seulement dans un rayon de un kilomètre autour de chez vous et pendant une heure maximum. Il faudra être muni d’une attestation indiquant que l’on sort pour l’un des motifs autorisés : courses alimentaires, rendez-vous médical, sortir pour s’aérer, promenade de l’animal de compagnie, aide à un proche
. Et pour le ravitaillement : Des commerces jugés essentiels seront ouverts : les magasins d’alimentation (grandes surfaces, commerces de bouche…), les pharmacies, les opticiens, les kiosques, les tabacs, les merceries, les jardineries…
. Et pour les services publics : Pôle emploi comme les Caisses d’allocations familiales, La Poste ainsi que les mairies resteront ouverts normalement
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Les Échos
Illustration des insuffisances de notre système de santé sacrifié depuis si longtemps : Mercredi soir
. Le nombre de lits de réa n’a donc pas évolué ces derniers mois. La deuxième vague sera
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que la première a-t-il prévenu L’Élysée évoquait dans la journée un
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entre mesures sanitaires fortes pour éviter une submersion des hôpitaux, et le maintien de la vie économique, afin de limiter au maximum le coût du confinement. Il ne sera possible de sortir que pour aller travailler, faire ses courses ou aller chez le médecin, avec une attestation qui redeviendra obligatoire
Sud Ouest
Le quotidien aquitain donne la parole à des économistes : L’histoire a montré en 1832 avec l’épidémie du choléra, en 1918 avec celle de la grippe espagnole, que les deuxièmes vagues épidémiques sont généralement plus dures sur le plan sanitaire, économique… et moral.
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explique Philippe Crevel On connaît l’influence du moral des ménages sur la consommation, celui des entrepreneurs sur les investissements et l’emploi. Je suis très inquiet pour le tissu économique français
, renchérit Olivier Babeau
L’Humanité
Le quotidien a interviewé Xavier Timbeau, le directeur de l’OFCE :