Capital
S’il semble maintenant clair que l’âge de départ n’évoluera pas dans le cadre de la réforme des retraites, le flou demeure sur la future loi sur le grand âge et l’autonomie.
Mais, car il y a un mais, si le sujet est évacué de la réforme des retraites, il pourrait très bien revenir rapidement par le biais du financement de la dépendance des personnes âgées
.
L’Express
En effet, L’idée de revenir sur la promesse de campagne en reculant l’âge minimal de départ dans la réforme des retraites ayant provoqué une levée de boucliers, une modification via la loi sur la dépendance a fait surface
. Même si :
, le haut-commissaire aux retraites.
, martèle l’équipe de Jean-Paul Delevoye
Le Figaro
Pourtant, La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a confirmé que cette piste était sur la table.
. Reste que pour certains travailler plus peut augmenter le risque de se retrouver dépendant plus vite.
, explique-t-elle
Le Télégramme
Mais pour le ministre des Comptes publics le compte est bon et les additions bien posées : la question de l’âge de départ reste posée .
Sinon, dans le genre, il y a bien le CICE…
, a-t-il lancé, jugeant nécessaire de prendre ces décisions
. Et d’ajouter tout à trac :
Le Monde
En tous cas, Jean-Paul Delevoye tient à ce que les choses soient claires : il ne fait pas du chantage à la démission. Mais si la réforme des retraites, sur laquelle il travaille en qualité de haut-commissaire, se traduit par un relèvement de l’âge minimum pour payer les pensions, il quittera son poste.
. Voire dans l’au-delà ?
, rappelle-t-on dans son entourage, en insistant sur le fait qu’
. Cette mise au point, effectuée mercredi 3 avril, intervient alors même que plusieurs poids lourds de l’exécutif continuent de mentionner l’hypothèse d’un report de l’âge à partir duquel les personnes peuvent réclamer le versement de leur pension – ce qui ferait passer ce paramètre de 62 à 63 ans, voire au-delà