Le fonds de soutien aux collectivités, créé à la suite du scandale des emprunts toxiques, sera porté à trois milliards d’euros sur quinze ans afin de limiter les effets de l’envolée du franc suisse, induisant une flambée des taux d’intérêt des prêts adossés à cette monnaie. Abondé par l’État (à 60 %) et les banques, ce fonds doit aider très partiellement les collectivités à rembourser ces dernières.