Les syndicats indonésiens ont été exclus de la négociation sur le salaire minimum et les intimidations et violences contre les syndicalistes se multiplient depuis la grève pour son augmentation, à laquelle des centaines de milliers de travailleurs ont participé le 30 octobre. La Confédération syndicale internationale exige que le gouvernement cesse la répression et « parvienne à une justice salariale ».