Le Monde
Un état des lieux pour le moins inquiétant :
. Et pour cause. En huit mois de crise le gouvernement n’a pas jugé bon semble-t-il de multiplier les lits de réa ! Et mieux vaut tard que jamais :
, a affirmé M. Castex. Il a également averti que
serait
et que
allait
en raison de la deuxième vague de l’épidémie.
, a souligné le premier ministreL’Assemblée nationale a approuvé mercredi soir
Le quotidien du soir énumère aussi les mesures à venir :
d’hôpital et des revalorisations salariales promises aux soignantsLes mesures de soutien économique
. Dans le lot,
, a en outre annoncé le premier ministre. Il a notamment cité le fonds de solidarité, les exonérations sociales et le prolongement de prêts garantis par l’État 115 millions d’aides pour le secteur de la culture
. Cela pourrait ne pas être suffisant !
L’Alsace
Le quotidien régional précise : Les secteurs directement concernés par le couvre-feu ne représentent qu’environ 4% du PIB français, estime l’économiste Mathieu Plane (OFCE). Mais ils pèsent lourd en termes d’emplois, notamment intérimaires. Ils pèsent également sur le moral des ménages et des entreprises
.
France Info
L’extension du couvre-feu a un coût : Quel sera l’impact économique des mesures de couvre-feu instaurées en France, pour lutter contre l’épidémie de Covid-19 ? Ces restrictions, qui concernent désormais 54 départements, auront un coût d’un peu plus de 2 milliards d’euros pour les finances publiques, a annoncé le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, vendredi 23 octobre sur Europe 1.
.
, a souligné le ministre. Si ces mesures devaient se prolonger au-delà, les moyens financiers seraient
, a-t-il assuré, ajoutant qu’il y avait un
de contraction du produit intérieur brut au quatrième trimestre
RTL
Concrètement : Le Premier ministre a donc décidé d’étendre les mesures d’aides économiques à tous les départements concernés par le couvre-feu. Les aides sont celles du fonds de solidarité. Toutes les entreprises de moins de 50 salariés qui se trouvent dans les nouvelles zones de couvre-feu pourront bénéficier, et ce, quel que soit le secteur. Cela représente un chèque allant jusqu’à 1 500 euros par mois, défiscalisés, si votre TPE ou PME subit une perte de 50% de son chiffre d’affaires. Pour les hôtels, restaurant, bars et cafés, l’enveloppe peut monter jusqu’à 10 000 euros
… En tout, ces nouvelles aides appliquées aux 54 départements sous couvre-feu coûteront à l’État autour d’un milliard et demi d’euros par mois
.