Les licenciements en 2013 d’une soixantaine de salariés de La Maison de Valérie étaient « dépourvus de cause réelle et sérieuse », selon un jugement des prud’hommes de Blois rendu le 27 août. L’ancienne société de vente à distance, déjà propriété de Conforama à l’époque, a été condamnée à leur verser environ 18 mois de salaire d’indemnités, soit une enveloppe globale de 1,5 million d’euros. L’UD FO se félicite de cette « belle victoire ». Les juges doivent encore examiner les dossiers de 16 cadres.