Les syndicats, dont FO, de chez Renault Trucks (groupe Volvo), ont quitté le 17 juin la table des négociations sur le plan d’accompagnement des 512 suppressions d’emplois, estimant que la direction n’a pas « amélioré » sa copie, comme l’avait demandé mardi le ministre de l’Économie Emmanuel Macron. « Nous avons plusieurs convocations auxquelles nous ne participerons pas tant que la direction ne reviendra pas avec un mandat clair pour négocier », a indiqué Olivier Repessé, délégué FO.