La Tribune
C’est toute l’économie mondiale qui est aujourd’hui touchée : L’épidémie du nouveau coronavirus pourrait avoir un effet négatif sur la croissance mondiale en 2020 en fonction de la capacité de la Chine à contenir sa propagation, a prévenu dimanche
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Le Monde
Les conséquences sociales s’abattent déjà sur les travailleurs chinois : Conséquence de cette quarantaine généralisée : des dizaines de millions, et sans doute bien davantage, d’ouvriers, livreurs, femmes de ménage, employés de commerce vivent actuellement une situation kafkaïenne. Non seulement ils ne sont pas payés, mais leurs employeurs risquent bien de mettre prochainement la clé sous la porte. Plusieurs entreprises ont déjà annoncé des réductions d’effectifs ou, dans le meilleur des cas, des baisses de salaire. Selon le
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Les Échos
La France est aussi touchée : L’arrêt quasi-total de l’économie chinoise depuis quatre semaines porte un coup dur aux entreprises françaises établies dans le pays (2 100 entreprises, hors Hong Kong, employant 480 000 personnes). Malgré le manque de visibilité sur l’évolution de l’épidémie de coronavirus (qui a déjà fait plus de 2 000 morts en Chine), l’impact économique s’annonce important, notamment pour les PME : 61% des entreprises hexagonales en Chine estiment que leur chiffre d’affaires pourrait chuter de 50% au premier semestre, selon une enquête menée par les conseillers du commerce extérieur (CCE)
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En France même : Pour le ministre des Finances français, Bruno Le Maire, l’épidémie pourrait, à ce stade, amputer la croissance française de 0,1 point en 2020.
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, avait-il prévenu mi-février
Le Figaro
En France, certaines entreprises subissent déjà la crise, telles les firmes alimentaires exportant en Chine ; hôtels et grands magasins ont pris de plein fouet l’arrêt brutal du tourisme chinois. Les griffes de luxe sont touchées, les clients chinois réalisant un tiers du marché, [...] , beaucoup d’autres filières redoutent un impact dans les semaines et les mois à venir, à commencer par les enseignes de prêt-à-porter
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Libération
Le virus aux frontières du pays. [...] Gilles Pialoux, chef du service de maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital parisien Tenon.
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Toutefois, il ne faudrait pas que cette pandémie soit utilisée pour quelques coups-bas sociaux !