Areva a dévoilé le 2 avril deux scénarios de restructuration possibles : une cession totale de sa filiale Areva NP (ingénierie et réacteurs) ou une cession partielle (l’ingénierie) à EDF. FO (métallurgie et chimie) et les autres syndicats ont réaffirmé leur opposition au « démantèlement » du géant français du nucléaire, que ce soit par cession totale ou partielle. La Fédération FO Énergie et Mines a également exprimé son désaccord avec une participation d’EDF au capital d’Areva, dont les difficultés financières « ne sont dues ni à son personnel ni à EDF », mais à une « attitude défaillante de l’État ».