Capital
Le maître des horloges ne sonnera pas de suite la retraite : La crise des
. En effet, gilets jaunes
va repousser les séances de concertation sur cette réforme, qui ne devrait pas être votée pour le premier semestre 2019 comme l’avait souhaité Emmanuel Macronces discussions ont été reportées à la semaine du 7 janvier pour
. Des explosifs à retardement ?
, explique l’entourage de Jean-Paul Delevoye à Europe 1, assurant au passage que ce n’est
. Pour rappel, la réforme de la retraite prévoit notamment d’uniformiser les différents régimes de retraite existants et doit aborder différentes thématiques comme le minima de pension, le niveau de cotisation des indépendants ou encore les réversions. Autant de sujets explosifs qui devront attendre encore
Marianne
Alors que d’autres qui sont déjà retraités s’indignent : Francine Vergon, 68 ans, a lancé une pétition en ligne pour demander le retour de l’indexation des pensions de retraite sur l’inflation. Elle compte déjà plus de 86 000 signatures [plus de 100 000 au 26 décembre]. La révolte pour le pouvoir d’achat n’a pas d’âge. Francine Vergon, retraitée de 68 ans habitant à Nancy (Meurthe-et Moselle), [...] vit avec une pension de 954 euros par mois.
.
, explique-t-elle
Le Point
Soutien de la première heure du mouvement des Gilets jaunes, elle [Francine Vergon] considère que la réponse d’Emmanuel Macron au mouvement laisse de côté le pouvoir d’achat des petits retraités
. Si l’un pense parer le péril en l’urgence, les autres pensent qu’il y péril en la demeure.
La Croix
Les pensions de retraites seront revalorisées de 0,3 % seulement l’année prochaine, alors que le gouvernement lui-même prévoit une inflation tournant autour de 1,7 %. La différence doit permettre à l’État un gain d’environ 1,8 milliard d’euros
. Un pognon de dingue.
L’Express
A tel point que : Un nombre croissant de seniors est contraint de reprendre une activité pour compléter une pension trop maigre. [...]
. Un pognon de dingue.
, alerte la Drees (direction de la recherche, des études, des évaluations et des statistiques). Armelle, 60 ans, a beau cumuler emploi et pension, elle survit avec 899 euros par mois. Après trois ans de maladie, cette sexagénaire à la voie posée, n’a pas réussi à reprendre son travail d’agent de recouvrement au Trésor public et a dû s’arrêter plus tôt que prévu. Actuellement en rééducation après une opération du genou, elle espère renouer avec les ménages et les baby-sittings. Pour un bénéfice de 150 euros mensuels