Le Figaro
Le quotidien détaille ce plan de 100 milliards :
8,2 destinés aux énergies et technologies vertes
20 dédiés à la baisse des impôts de production
3 affectés au renforcement des fonds propres des entreprises
6,9 destinés à la souveraineté technologique
1,9 dédié à la mise à niveau numérique de l’État
1,6 affecté pour la culture
7,6 destinés à la sauvegarde de l’emploi
8,7 affectés à l’emploi des jeunes
3 destinés à la recherche
6 consacrés au financement des investissements du Ségur de la santé
9,5 affectés à la cohésion territoriale. Ce sont donc les employeurs qui sont les mieux servis !
Sud Ouest
Le quotidien questionne : Pourquoi 100 milliards d’euros, l’interrogera-t-on ?
. A voir.
. Et d’expliquer :
. Un peu plus tôt, le Premier ministre avait répondu aux critiques sur le gonflement de la dette :
. Relancer l’économie pour accroître les rentrées fiscales, inciter les Français à consommer les 100 milliards qu’ils ont économisés pendant le confinement : pour cela il faut créer un climat de confiance. Voilà pourquoi, le gouvernement le dit et le martèle : il n’y aura pas de hausses d’impôts
Les Echos
Avec ce coup de fouet à l’activité, l’exécutif cherche également à juguler l’hémorragie sur l’emploi. Environ 800 000 postes devraient être supprimés cette année, et il est fait l’hypothèse que la moitié de cette perte sera effacée l’an prochain
.
AFP
FO a fait part de ses craintes et de ses critiques : Son responsable Yves Veyrier a regretté sur RTL qu’en général les plans de relance ne sont
.
.
. Il a également estimé que
, appelant à ce qu’on
Libération
L’exécutif s’apprête à baisser les prélèvements sur les entreprises de 20 milliards d’euros. Leitmotiv des libéraux et du patronat, la mesure bénéficiera surtout aux grosses sociétés. Pour le coup, on pourra dire que le Covid-19 aura constitué une belle opportunité. Car en annonçant ce jeudi
.impôts de production
sur les entreprises, le gouvernement va satisfaire – au moins partiellement – une revendication patronale vieille de plusieurs années, et totalement décorrélée de la crise sanitaire et économique que traverse la France depuis le mois de mars