« Pour Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force Ouvrière, "cela ne change rien". "Nous, ce que nous demandons, c’est la suspension du texte. (…) On ne met pas de date butoir, on ne met pas de calendrier et on discute", insiste-t-il. "Si ce n’est pas le cas, si c’est simplement un report, ce n’est plus la suspension que je vais demander, c’est le retrait du texte" » France 2.