En manifestant le 24 novembre à Paris, à l’appel notamment de FO, les chauffeurs VTC réclamaient une application stricte de la loi Grandguillaume de 2016.
Celle-ci avait donné un an aux chauffeurs de transport collectif occasionnel (2 voyageurs minimum et 9 au maximum, loi LOTI de 1982) pour réussir l’examen commun VTC-taxis ou obtenir une équivalence, et pouvoir faire ainsi du transport individuel sans contourner la légalité.
Mais le gouvernement a accordé un délai supplémentaire. Les chauffeurs VTC revendiquent aussi un tarif minimum et la fin de l’ingérence des plates-formes dans les négociations.
Album Flickr ci-dessous, photographies : F. Blanc (CC BY-NC 2.0) |