Y a-t-il des bonifications sur le Tour 2015

Le Tour en questions

Article publié dans le cadre de la campagne Tour de France 2015

Oui ! Elles font leur grand retour après plusieurs années d’absence. En 2008, ASO avait décidé de supprimer les bonifications en temps à l’arrivée des étapes et aux sprints intermédiaires. Pour cette édition 2015, l’organisateur fait machine arrière. Un temps annoncé pour les seules étapes de plat, le retour des « bonifs » est finalement généralisé aux trois semaines de course, en dehors évidemment des contre-la-montre. Mais les bonus accordés sont moindres que par le passé. Exit les bonifications aux sprints intermédiaires : seuls les trois premiers de chaque étape y auront le droit. Et si le barème était de 20, 12 et 8 secondes jusqu’en 2007, il est désormais réduit de moitié. Le vainqueur d’étape n’aura le droit qu’à 10 secondes décomptées à son temps total au classement général. Et les deux coureurs qui le suivent à respectivement 6’’ et 4’’.

Plus dans la campagne Tour de France 2015
Tous les articles de la campagne

Nairo Quintana | Un rêve colombien

Les quatre favoris du Tour

Grande animatrice du Tour de France depuis les années 1980, avec ses grimpeurs aériens portés sur l’offensive à la vue du moindre lacet, la Colombie n’a néanmoins jamais connu la joie de voir l’un de ses fils ramener le maillot jaune jusque sur les Champs-Élysées. Pour combien de temps encore ? Nairo (...)

Le vélo, c’est aussi…

Le Tour des autres courses

Il n’y a pas que le Tour de France dans la vie ! Loin de se limiter aux trois semaines de juillet, la saison cycliste dure de janvier à octobre et rend visite aux quatre coins du globe. Présentation.

Tour de France 2015

Tour de France 2015

Une fois encore, les participants à la Grande Boucle sont sur les routes. Mais le Tour de France ce n’est pas qu’une course sportive, c’est un événement annuel populaire et pour Force Ouvrière, qui y participe depuis plus de trente ans, un événement (...)

Le Tour de A à Z : Rodez

Tour de France 2015

13e étape, Muret-Rodez, 200 kilomètres. Le peloton sort des Pyrénées, les coureurs sont fatigués. Le final est accidenté : une aubaine pour les baroudeurs ? Possible, car l’arrivée dans la préfecture de l’Aveyron n’est pas de tout repos pour les sprinteurs. Du coup, leurs coéquipiers pourraient avoir des (...)