Ils ont notamment obtenu une prime, traduisant la revalorisation de la rémunération de leur journée de service. Les cheminots de Nice étaient engagés mi-janvier dans une grève à l’appel de quatre syndicats dont FO.
« Yves Veyrier, secrétaire général de Force Ouvrière, a assuré lundi sur Europe 1 que le droit de retrait exercé par les cheminots relevait d’un “principe de précaution”, et non du premier acte d’un mouvement social. » Europe 1