Premier volet d’une série à suivre, écrit à quatre mains, ce polar nous entraîne sur les traces d’un tueur en série. L’enquête est menée tambour battant par Carmen, jeune policière dynamique, amoureuse des chats et des toits de Paris.
Grâce à son intuition et à sa ténacité, elle explore chaque piste, chaque indice, de Paris à Venise, pour faire toute la lumière sur cette affaire.
Le style est enlevé, les scènes s’enchaînent à vive allure, à l’image de Carmen, à laquelle on s’attache peu à peu.
Et on se prend au jeu en essayant de dénouer l’intrigue au fil des pages pour trouver qui se cache vraiment sous le nom de Casanova.
Carmen Ricci de Johanna Dijkstra et Pierrick Guillaume. Éditions Mazarine, 357 pages, 20 euros.