Dans son dernier rapport, le GIEC, groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat, composé de plus de 800 scientifiques, met l’accent une nouvelle fois sur le réchauffement climatique rapide, dû de façon prédominante à l’activité humaine, et sur « le risque de conséquences graves, généralisées et irréversibles pour l’être humain et les écosystèmes ».