Libération
Rappel des faits : Un licenciement pour
.faute grave
: c’est la sanction infligée à deux salariés d’hypermarché Cora, en l’espèce celui de Saint-Malo qui ont refusé de travailler le dimanche matin, rapporte Europe1. Il s’agit d’une femme ayant 18 ans d’ancienneté et d’un homme qui en a 8.
, explique Europe 1, qui précise
Le Dauphiné
Le quotidien isérois précise : récemment licenciés par leur direction pour
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, après qu’ils ont refusé de travailler le dimanche. D’après le droit du travail, seuls les employés volontaires ayant donné leur accord par écrit peuvent travailler le dimanche. Ce qui pourrait rendre ces cas de licenciements contestables devant la justice
L’Express
Il semblerait que cette enseigne n’en soit pas à son coup d’essai en matière de management autoritaire. L’hebdomadaire le signalait déjà en octobre 2011 : une caissière d’un magasin Cora est accusée de vol et menacée de licenciement pour avoir utilisé une offre promotionnelle au dos du ticket de caisse d’une cliente qui l’avait abandonné.
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Ouest-France
La salariée s’explique et se défend : Licenciée pour son refus de travailler le dimanche :
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dit ChrystèleLe dimanche 17 mars, Chrystèle Lorant, salariée depuis dix huit ans au sein de l’hypermarché Cora à Saint Jouan des Guérets, près de Saint-Malo, ne s’est pas rendue sur son lieu de travail. La salariée avait prévenu sa direction, quelques jours auparavant, par courrier.
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explique Chrystèle Lorant
Le Point
Et l’employée de révéler les pratiques de sa direction : Chrystèle, interrogée par Europe1, explique les circonstances de son licenciement.
. Dès l’origine FO avait prévenu des risques de dérapage sur ce dossier du travail dominical.