« Ce n’est pas un, deux, quelques articles qu’il convient de modifier, mais bien l’ensemble du texte qui ne convient pas, en termes de conséquences dramatiques pour les salariés et pour nos droits sociaux ».
« Demain et dans les six jours qui viennent, nous rappellerons au Premier ministre que bien sûr, nous sommes prêts à discuter, à dialoguer. »