L e 5 octobre n’est pas une fin en soi, avions-nous dit. Et, campagne présidentielle ou pas – l’indépendance syndicale à laquelle nous entendons bien nous tenir –, elle ne nous fera pas taire ce que nous considérons juste et légitime d’exprimer du point de vue de la situation des salariés, et ne nous empêchera pas d’agir sur le terrain syndical pour la défense et le progrès des droits des salariés.