Alors qu’actuellement nombre de dirigeants usent d’un vocable belliqueux qui fait frémir la planète, avec en Europe un « réarmement » érigé au rang de préoccupation essentielle, – ce qui induirait d’axer en ce sens la réindustrialisation et d’effectuer des choix dans les dépenses publiques, avertit déjà l’exécutif français –, les travailleurs, eux, n’entendent pas voir sacrifiés leurs droits sur l’autel d’une austérité exacerbée censée permettre le financement d’une économie de guerre.