Les Échos
À eux deux, les fabricants basés à Paris et à Turin ont vendu 8,7 millions de véhicules l’an dernier : une union en ferait le numéro quatre mondial du secteur, derrière Volkswagen, Renault-Nissan-Mitsubishi et Toyota, qui se tiennent dans un mouchoir de poche. Mais sur le marché européen, la nouvelle paire vendrait presque autant d’automobiles que VW, le leader local
.
AFP
Face à cette annonce, l’Agence donne la parole aux syndicats. Force Ouvrière, premier syndicat chez PSA, a souligné mercredi
.
du projet de rapprochement avec Fiat-Chrysler, d’autant qu’il n’est pas prévu de fermeture de site en France. Dans un communiqué, FO juge
le projet
tout en restant
. Pour Olivier Lefebvre, délégué syndical central cité dans le communiqué, il est
. Et notre camarade d’ajouter :
, a estimé de son côté auprès de l’AFP Patrick Michel, secrétaire FO du comité de groupement de PSA, voyant
à un rapprochement PSA/Fiat Chrysler, dont
, a-t-il observé
.
Libération
Le quotidien apporte ses précisions : De son côté, le gouvernement français assortit sa bénédiction au respect d’un certain nombre de conditions, au premier rang desquelles la clause de sauvegarde sociale. Pas question, a fait savoir Bercy
.
L’Est Républicain
Le grand quotidien de Lorraine-Franche Comté, qui couvre la région où est implantée la majorité des usines Peugeot, a envoyé ses reporters sur le terrain au petit matin devant les grilles des usines de Sochaux : Les rares salariés qui acceptent de donner leur avis sur la fusion possible entre PSA et FCA (Fiat Chrysler Automobiles) affichent leur optimisme à l’idée de devenir un groupe plus puissant. Souvent nuancé par l’idée que, quel que soit leur avenir, il n’est plus entre leurs mains
... Qu’ils soient optimistes ou pas, le sentiment qu’ils n’auront ni leur mot à dire, ni la possibilité d’y changer quoi que ce soit, semble partagé
.