C ette semaine s’est ouverte la 108e Conférence internationale du travail à Genève. Outre son examen du respect des normes internationales du travail par les différents pays, dont vingt-quatre feront l’objet d’une attention particulière du fait notamment d’infractions graves à la liberté syndicale, elle doit être celle de l’adoption d’une convention importante, destinée à lutter contre toutes les formes de violence et de harcèlement au travail, sujet revenu à la une de l’actualité en France avec le procès concernant France Télécom.