Malgré les mouvements de grogne dans des entreprises comme Stokomani, Leroy Merlin ou encore Boulanger, les directions font toujours semblant de ne pas saisir l’urgence de la situation à prendre sérieusement en considération les difficultés financières de leurs salariés, notamment du fait des augmentations constantes de la vie courante sans que les salaires ne suivent la même évolution.