Contrairement aux déclarations de la ministre de la santé, en janvier et en juin 2018, considérant que la « problématique de la santé mentale est insuffisamment prise en compte dans notre pays », on ne compte plus les mesures imposées par les ARS aux établissements pour fermer des lits, des services, réduire les effectifs, remettre en cause les acquis sociaux obtenus par l’action syndicale.