General Electric (GE) faisait des promesses, FO appelait à la méfiance. Légitimement. En 2015, l’américain, achetant le pôle énergie d’Alstom, assurait qu’il créerait, en trois ans, un millier d’emplois nets en France. Un an après il supprimait 6 500 emplois en Europe. En France, 800 emplois (…)