La situation du groupe volailler Doux est dramatique. Le groupe est à vendre et, si aucune solution n’est trouvée d’ici au 31 mars 2018, ce sera la liquidation judiciaire !
Trois ans après la visite du futur président de la République, M. Macron, le constat est amer pour les 1 200 salariés du groupe qui exercent leur activité sur les différents sites basés en Bretagne et en Vendée, ainsi que pour les nombreuses personnes qui travaillent indirectement pour le groupe.
La France continue d’importer 50% des volailles consommées dans l’Hexagone alors que les usines et les savoir faire existent sur le territoire national ! Malgré les sollicitations et les cris d’alarme, notamment en provenance de la FGTA-FO, les pouvoirs publics n’ont rien fait, et ce depuis des années.
Il ne reste plus que trois semaines pour agir. La FGTA-FO demande à rencontrer immédiatement les ministres concernés par le dossier pour sauver les emplois et éviter un nouveau naufrage social dans le secteur avicole. Le compte à rebours est enclenché.