Le volailler Doux, qui emploie 1 200 salariés, est en grande difficulté financière. Son principal actionnaire souhaite se désengager au 31 mars 2018. Des discussions sont en cours avec un repreneur potentiel, l’industriel ukrainien MHP, mais avec une restructuration à la clé. La fédération FGTA-FO en appelle au gouvernement pour éviter un nouveau naufrage social.