Dans le « nouveau monde », la dépense publique, c’est le mal. Il faut la diminuer absolument, même si les problèmes de santé s’aggravent. Fermetures d’urgences pendant l’été, épuisement des personnels hospitaliers, déserts médicaux, renoncement aux soins trop coûteux, etc. Mais « en même temps », la transformation du système de santé va entraîner des dépenses.